tralala

une histoire de plus

Mardi 11 août 2009 à 22:58

Tu sais, c'est comme si tu voulais gouter un aliment que tu ne connais pas encore. Tu le prends volontiers mais tu ne sais pas si tu vas aimer.

Je fais la plonge. Mon boss est un macho. Et Mimi Cracra me fait sourire. Et Scratinette est presque mon double. 'hier soir, j'ai compris qu'on était pas seules. je crois qu'on se comprend'.
Merci. Mais depuis des nuits je ne dors plus. Je pense à elles. Vous me manquez tellement. J'ai le sentiment de louper plein de choses. C'est la vie. Profitez, profitons.
Et pas d'entourloupe, hein?
Je ratisse les fêtes votives de toute la région. Je danse la salsa, le zouk, l'électro. On dit que je suis charmante. J'ingurgite et je m'intoxique.
Dépravée.
J'ai roulé les fenêtres grandes ouvertes, la tête vers toutes ces vignes, ces champs de lavande. Je me défonce à l'odeur du soleil.
J'ai tourné une bonne heure. C'est quand même grand cette ville. Tout ne me semble plus si simple.
Mais j'ai les clés. C'est l'essentiel. J'ai effleuré tous les meubles. Ouvert toutes les portes et les rideaux. Bon. c'est ici que je vais vivre maintenant. Il faut s'y faire.
Peuchère.
Et puis je l'ai enfin revue. O joie. 'on va à la plage?' Du monde enfin. Des gens, de la chaleur. Les voitures viennent se garer sur le bord de l'autoroute. Ils sont fous ces sudistes. Et les éternels ambulants : chichiis, loulous, boissons fraîcheees, caaafé!

[mer peu agitée en fin d'après-midi. vent faible. courants chauds voire très chauds. sable fin, doux, brûlant. bouche salée. mains sablés. sourires chocolatés. bise fraiche en début de soirée. ballerines ensablés. bisous force 8 à 9.]

Je jongle entre trois, presque quatre maisons. C'est bien, c'est dur parfois. Oh, une maison vide. Et un PC libre... Enfin. Mon attache. Completely addicted. Il est l'heure de résumer. Enfin. Séance thérapeutique.
Soyons vrais, c'est plus frais.
Mon piano me manque. A tel point que j'en pleure. Pas moyen de s'évader. Alors je me promène avec du Yann Tiersen tout le temps dans les oreilles. Histoire de compenser. Et de faire comme si.
S'en est assez pour aujourd'hui.
Laisse là pleuvoir cette tristesse diluvienne .

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